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Fakear

Dimanche 4 août /

France - Electronica

Après l’ivresse d’une ascension fulgurante, des tournées partout dans le monde devant des milliers de personnes, Fakear a eu besoin de retrouver Théo. Et il a fallu que le monde entier se confine pour que Théo Le Vigoureux, un Caennais sensible de trente ans fasse le tri, dans sa tête comme dans sa musique.
Au point, même, de vouloir rompre avec son double musical, devenu parfois trop encombrant. Mais une histoire qui dure depuis dix ans ne se raye pas comme ça. Théo avait surtout besoin de réinventer Fakear : revenir à l’essentiel avec spontanéité et surtout honnêteté.

Après des années passées à se questionner, il faut avancer, être différent, évoluer. Dans la manière de composer notamment, avec des prises de risques. Tout en se faisant plaisir. Nous avons désormais affaire à un Fakear assuré, assumé. Sur scène, il s’est entouré de deux amies musiciennes, une harpiste et une violoniste, pleines d’énergie.